Le Pont du Christ, qui enjambe la Dyle depuis 1702, est la scène de violents combats en 1815, comme en témoigne le Christ qui s’y trouve, blessé au flanc gauche par un coup de biscaïen. Pas moins de 13 assauts s’y succédèrent. Les soldats suisses du bataillon Stoffel, intégrés peu avant à un corps d’armée français, y furent décimés.
Deux plaques commémoratives, dont la dernière date de 2009, ont été apposées à cet endroit.
L’apparence actuelle du pont, qui est de taille modeste, date de 1946. De simples parapets, en grès ferrugineux, délimitent le pont.